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Recherche par lecteur : Patrick Levieil

188 résultats. Page 10 sur 10.

Lu par : Patrick Barras
Durée : 1h. 24min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 18209
Résumé:Boris Cyrulnik a minutieusement exploré les mécanismes de l'attachement (Sous le signe du lien) et de la résilience (Un merveilleux malheur). Dans ce livre inédit et autobiographique, il s interroge sur le travail de la mémoire à travers son expérience personnelle d'enfant orphelin à l'âge de 5 ans, prisonnier puis évadé à 6 ans, et ayant surmonté tant d'épreuves par le travail intérieur de sa mémoire : faut-il se souvenir ? Et jusqu'à quand ? Y a-t-il un devoir de mémoire ? Comment la mémoire reconstruit-elle le souvenir ? Et pourquoi ? Boris Cyrulnik revient sur les traces de son enfance, guidé par les mots de sa mémoire.
Lu par : Patrick Barras
Durée : 2h. 45min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 18561
Résumé:C'est une rivière fraîche et sautillante, bordée De saules et de grands arbustes chauffés par le Soleil... Sur la mousse qui couvre ses berges, Le corps d'une enfant repose. Nue. Le visage Couvert d'un mouchoir, les cuisses maculées de Sang. Le facteur l'a trouvée là. Il l'a reconnue Aussitôt, la petite Roque, innocente victime d'un Adulte barbare. Qui a pu commettre un tel crime ? Un rôdeur, un vagabond ? Un voisin, un ami ? Peut-être celui qu'on n'oserait jamais soupçonner...
Durée : 4h. 31min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 15654
Résumé:
Durée : 1h. 8min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15482
Résumé:Il s'agit de l'histoire de deux amis : Martin Schulse, un Allemand, et Max Eisenstein, un Juif américain. Voilà des années qu'ils sont associés à San Francisco dans une affaire prospère de commerce de tableaux, "La galerie Schulse-Eisenstein", quand Martin, au début des années 30, décide de retourner dans son pays. La correspondance entre les deux amis commence le 12 novembre 1932 et s'achèvera le 3 mars 1934. Moins de vingt lettres qui nous racontent à leur manière comment l'Histoire peut s'introduire dans les destins particuliers et les emporter. Mais pas de commentaires, pas d'analyse. Aucune digression de cet ordre dans un roman qui se lit comme un journal intime à deux voix.
Durée : 5h. 23min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 15077
Résumé:
Durée : 2h. 9min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14927
Résumé:"Le pays allait de l'avant, bien loin de la guerre, à une vitesse incroyable, en oubliant tout. Mais il y avait tout un monde qui n'en était jamais sorti, de la guerre, et qui dans ce pays heureux n'arrivait pas à redémarrer." Ce monde va se livrer bataille à la vieille ferme de Mato Rujo, où vivent Manuel Roca et ses deux enfants. Habités par la vengeance, trois hommes viennent débusquer celui qui fut leur ennemi, trois hommes décidés à faire couler le sang. Manuel Roca le sait. Sous la plancher de la maison, il dissimule sa petite fille puis après avoir chargé ses fusils, il demande à son fils de courir se cacher. Déjà le bruit des armes automatiques les rattrape. La guerre n'est pas finie... Hector Chavez
Lu par : Patrick Barras
Durée : 6h. 39min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 19387
Résumé:Cet ouvrage ne se borne pas à raconter l'histoire de la Piraterie, il en traite comme d'une révolte, peut-être la plus extrême, en tout cas la plus longue qu'au comme l'humanité. Les figures ténébreuses et fascinantes qui sont évoquées ici - des Barbaresques aux Flibustiers, des Boucaniers aux écumeurs de la mer de Chine - accomplissent leur révolte à la fois dans l'Histoire et hors de celle-ci. Le pirate, ainsi que le fait revivre pour nous Gilles Lapouge, se dresse d'abord contre l'ordre qui régit la société, mais aussi contre l'image qu'il se fait de la condition humaine...
Durée : 1h. 28min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 9905
Résumé:Présentation de l'éditeur : Daniel ne parle presque pas et n'a pas d'amis. On dirait qu'il dort les yeux ouverts. Il a l'air de venir d'ailleurs. Il aurait pu s'appeler Sindbad le Marin, dont il a lu les aventures, le seul livre qu'il connaisse par coeur : son regard ne s'anime que lorsqu'on lui parle de mer et de voyages. Mais la mer, il ne l'a jamais vue. Alors, un jour de novembre, sans rien dire à personne, il s'en va pour ne plus jamais revenir...